Sujet : you have to live to really know things {hypérion Jeu 25 Aoû - 18:54 | |
| | Hypérion U. Martel
Monstre : nuckelavee; blabla uc
Personnage sur l'avatar - Anime : Yuu Nishinoya (haikyuu!)
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‘‘ | Hypérion Uranie Martel
who is here ? | ◮ Genre : Masculin ◮ Naissance : 1998/06 ◮ Groupe : Monstres ◮ Orientation Sexuelle : Bisexuel ◮ Autre : Études en gastronomie
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Hypérion, titanesque adolescent. Hypérion est le soleil et le soleil est une lune. Hypérion c'est ce qui tourne autour de Saturne, c'est son astre. Hypérion c'est ce qui représentait le soleil à l'époque des géants grecs. Et Uranie, muse, si belle muse, de l'astronomie, l'astrologie, enfant d'Apollon, le soleil. Hypérion, car ton nom est gravé dans le ciel.
Il y a cette époque, cette si lointaine époque où tu pouvais encore te permettre de les scander, de les aimer. Tu n'étais qu'un enfant, gamin insouciant. Tu avais l'espoir au ventre, les rêves au cœur. Le sourire à pleine dents, aussi. Mais désormais, c'est fini. Tout à changé. Tu as changé. Hypérion connait sa chute, suivant celle des plus grands. Hypérion connait douleur, mais n'a plus le goût des saveurs. Tout est amer dans sa bouche, désormais, la moisissure remplissant son être. Hypérion a chuté, découvrant le Styx et ses enfers. Hypérion est mort.
Tu ne sais pas quand, ni comment, mais Hypérion n'est plus vraiment. Il reste son cadavre, ses miettes de chair. Il ne reste que ça, plus rien d'autres. Ce sont les sentiments qui sont partis, Hypérion, qui t'ont laissé crever. C'est ce besoin de te nourrir de peur, d'être craint qui t'a condamné. Car la grandeur n'est plus, tu es si bas désormais. Il est loin, le temps des astres. Tu es plus bas que terre, pitoyable, miséreux. Tu le sais. Tu te hais. Hypérion a cessé de respirer.
Désormais, tu traines lourdement les pieds. Désormais tu subis le monde, tel Atlas le portant sur ses épaules. Tu es le dégoût, le cynisme. Tu es l'enfer que tu possèdes dans les yeux. Ce sont des flammes qui brûlent en toi, celles qui t'achèvent à petites braises. Mais ce n'est rien, ce n'est que toi. Tu n'as plus d'estime, tu n'as plus d'amour propre. Tu n'as plus rien. Tu n'as plus ce sens qui t'est si cher, Hypérion, et pour cela tu as tout perdu. Tu es la mélancolie, le mal être. Mais ça, c'est n'est rien. Toi, tu n'es plus rien.
Tu es tombé, brusquement poussé par l'humanité. Tu es tombé de ton trône, de cette place qui t'était si chère. Et tu t'es brisé. Tu as le cœur en morceaux et parfois, tu pleurs cette perte. Tu pleurs les sourires sincères, les éclats de rire. Tu pleurs ton être. Tu as beau faire semblant, ça ne marche plus. C'est lourd, le poids de la décision, le poids de la malchance. Tu regrettes tellement de choses, la belle époque, comme tu dis. Tu te regrettes beaucoup, aussi.
Il n'y a plus cet en train, ce besoin de vivre. Il n'y a plus que ces sourires crispés qui en disent long sur ta situation. Tu n'as plus rien à perdre, toi qui vis dans le déni, dans le regret. Ta chute fut mortelle, Hypérion, et même les astres d'Uranie n'y changeront rien. Tu ne brilles plus, tu es fade. Et si pars malheur un éclat vient à persisté, tu te rappelles que les étoiles que l'on voit dans le ciel sont mortes il y a des millions d'années.
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bo dy | ◮ Origine/Type : Tu ne sais pas pourquoi, mais tu détestes cela. Les mots qu'on met sur l'homme pour le décrire, si ce n'est détruire. Toi, tu es né au Canada, pays de cœur, mais tes parents ne viennent guère d'ici. Toi, tu as la nationalité canadienne, car c'est là où tu respires l'air. Pourtant, parfois, il y a un français qui s'échappe de la bouche des autres. Et alors que tu l'es de sang, tu n'entends dedans que la laideur des passants, celle qu'ils reflètent de toi et que tu ne peux cacher. ◮ Taille & Poids : Tu es un gamin, avec ton un métré cinquante cinq et tes cinquante-deux kilogrammes. Un nain, de ceux qui rêvent de grandir, mais qui se veulent grand de nom. ◮ Corpulence : Tu as tout perdu de ta graisse, ancien enrobage plus ou moins sophistiqué. Dorénavant, tu es si fin, à la limite du fragile. Tu as pourtant quelques muscles, par-ci par-là, mais ce n'est pas non plus grand chose. ◮ Couleur des yeux : Les noisettes dans les yeux, elles brillent de miles feux dorées. ◮ Couleur des cheveux : D'origine bruns, tu t'es néanmoins déteins une petite mèche devant, d'abord pour la rendre caramel, mais la couleur est parti, laissant place à de la nougatine. ◮ Autre : Rien à déclarer, chef. ◮ Style vestimentaire : Plutôt casual. |
Histoire Tu es né de passionné, Hypérion, de ceux qui te désiraient grand et qui ont très vite compris que ça ne pourrait pas être physiquement. Ils te voyaient tel un titan, peut-être même sportif, mais ce n'en fut rien. Fils unique, tu les as déçus sans qu'ils ne le montrent. Car oui, Hypérion, tu es une déception. Tu es cette personne en qui on voulait croire et qui finalement vous tourne le dos. Des cours de sciences, des clubs sportifs, des compliments pour que tu réussisses. Mais toi, dans tout cela, toi tu t'en es toujours moqué. Tu as brisé un à un ces rêves qui étaient leurs et finalement, tu as annoncé un bon jour la bombe. Tu serais un grand cuisinier, avais-tu dit, afin de présenter toutes les saveurs du monde à ces gens ignorants. Tu avais toujours eu l'espoir, les yeux brillants, mais cela devait bien cessé.
Tu possédais ce que certains nomment une gustation innée. Tu avais la langue qui dénichait toutes ces saveurs sans problème, tel un parfumeur pouvait user de son nom pour découvrir la composition de son odeur. Aveuglé ou non, tu savais ce qui se posait là, près de ton exquis palais. Mais ce n'était pas assez. Cela ne l'a jamais été. Tu ne devais pas être juste bon, tu devais être parfait, Hypérion. Les cours, c'étaient la guerre. Alors t'as décidé de tenter ta chance. T'as décidé de merder toute ta vie.
Tu as juste fait un vœux.
Au début, tu y avais cru, mais en fait, c'était juste un effet psychologique. Parce qu'au bout de 48 heures, c'était déjà ton enfer. Tu en es arrivé à vomir, à penser que ce que tu mangeais était avarié. Les saveurs n'avaient plus de sens, elles n'en ont toujours pas. Tu t'étais condamné, après tout. L'état qui empire sans cesse, et cette rage que tu ressens. Alors tu as frappé, frappé si fort cette vitre que tu en as saigné. Saigné noir. Et c'était fini, fini de toi, Hypérion. Tu avais signé ta perte. Plus le temps passait et plus tu découvrais, plus tu comprenais et plus tu t'horrifiais. Mais la vraie horreur, c'est quand tu as compris que tu aimais les peurs des autres, que c'était presque aussi bon qu'un cinq étoiles. Tel un croquemitaine, tu as fini par comprendre que tes goûts, bien plus que de disparaître, avaient surtout changé, évolué.
Nuckelavee.
Monstre de muscles et de sang, porteur de mal. Tu le sais désormais, et c'est toi qui en souffre le plus. Tu le sais et tu ne peux plus rien faire, c'est trop tard. Alors tu te morfonds dans le noir, avec les mains qui tremblent alors que tu essaies d'agir, de mêler les saveurs. Mais tu ne peux plus goûter ce que tu fais et tu sais que bientôt, très bientôt, cela sera ta perte. Tu as néanmoins encore l'espoir de découvrir une saveur, nouvelle, que seul toi pourra apprécier. Ton apogée.
| Monstre NUCKELAVEE Créature folklorique écossaise digne d'un centaure baigné dans le Styx, putride jusqu'à la moelle. Cavalier lié à jamais à son cheval, la peau broyé jusqu'à ne laisser que les muscles à vifs, à sang. Et les muscles qui pulsent, pulsent, sans rien pour les cacher. Les sabots digne de nageoires, les yeux en feu. L'apparence d'un monstre, du diable. Certains murmuraient autrefois croquemitaine, mais c'est ton souffle qui rend malade. Épidémie et sécheresse, le mal qui bat en toi est ce que tu détestes. Tu souffres, Hypérion, tu souffres de ce don. C'est ta nature qui te fait mal, celle que tu caches aux autres. Tu n'assumes pas. Tu n'assumes rien. Tu tentes de contrôler ces choses que tu provoques mais tu y prends goût, à ça. Petit à petit, c'est la peur d'autrui qui te nourri, tel un Nuckelavee. Tu ne t'en rends pas compte, aveuglé par te propre peur, mais c'est trop tard. Tu es déjà condamné. Tu ne vois pas ton regard quand tu passes à côté des rivières et des lacs. Tu ne vois pas la peur, la crainte, qui se répercute en toi. Et tu nies. Parce que tu refuses d'accepter ce que tu es, d'accepter ces faiblesses mortelles. Parce que tu refuses catégoriquement d'être néfaste et que pourtant, pourtant, tu ne peux rien y faire. C'est dans ton sang noir qui réside le mal. |
Le Joueur ◮ Prénom/Surnom : ENDYMION. ◮ Âge : groar ◮ Comment as-tu trouvé le forum ? On m'a forcé. (aka une personne même pas inscrite) ◮ Et comment tu le trouves, maintenant ? Dans ma barre de favoris. ◮ Qu'est ce que t'inspire le mot "Outaouais" ? De la perplexité. ◮ Quelque chose à dire ? Je suis beau. #égo Plus sérieusement, j'ai un peu de mal avec les profils en haut des posts mais ça c'est plutôt personnel en fait, c'est totalement ma faute, mais peut-être que vous auriez du mettre des avatars de plus petites tailles pour pas que ça prenne trop de place ? ;_; (genre du 200*350 ou du 200*320 parce que là je trouve ça immense olala) |
Dernière édition par Hypérion U. Martel le Mer 31 Aoû - 16:51, édité 10 fois |
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